Plan d'action 2010 - Plan stratégique pour les élections

COMMISSION EPISCOPALE

« JUSTICE ET PAIX » 

 CENTRAFRIQUE

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                                                  Bureau National

 

 

 

PLAN D’ACTION 2010

de la CEJP – CENTRAFRIQUE

 

 

Bangui 2010

 

1. INTRODUCTION

 

La célébration du Conseil National à Bangui du 10 au 13 mars 2010 a été un événement particulièrement important pour la Commission Episcopale « Justice et Paix ».

Le Bureau National et les délégués diocésains réuni en Conseil ont examiné le travail accompli et celui à accomplir. Le Conseil National a déterminé les priorités et les programmes d’action pour la Commission Episcopale « Justice et Paix » - Centrafrique pour la période 2010 – 2013.

Le Bureau National a déjà pourvu à établir, approuver et publier le programme triennal d’action 2011 – 2013.

Par le présent acte il détermine le plan d’action de la Commission Episcopale « Justice et Paix » - Centrafrique pour l’année courante.

Ce document comporte aussi la modification substantielle du budget de la Commission approuvé par l’Administration précédente : la nécessité d’assumer les perspectives  ouvertes par le Conseil National exige de changer d’une manière profonde le programme de l’Association.

Ce plan d’action est formé par quatre éléments essentiels : 1) Les objectifs généraux ; 2) Les objectifs spécifiques ; 3) La stratégie ; 4) Le budget financier relatif.

  2.LES OBJECTIFS GENERAUX

Les objectifs généraux sont deux :

1)      Redynamisation de la structure locale de la Commission Épiscopale «  Justice et Paix ».

Le premier objectif est évidemment constitué par la redynamisation de la structure de JP à partir des réalités paroissiales.

Cela implique la mise en place de toute structure/ organisation de l’Association.

Une formation au préalable est nécessaire et cela sera fait selon les requêtes des structures diocésaines.

2)      Le thème de la démocratie.

Le thème de la démocratie est le thème des élections présidentielles et législatives. C’est une occasion importante pour la formation sociopolitique des chrétiens.

Le Bureau National retient que tous les moyens doivent être utilisés et il organise à cet effet un plan stratégique. Plan joint est partie intégrante  de cette Plan d’action 2010. (Pièce-jointe n° 1).

   

3. LES OBJECTIFS SPECIFIQUES

Les objectifs spécifiques sont deux :

1)      Le comité spécial pour la recherche sociale interdisciplinaire.

La formation de ce comité, institué par le Bureau National par délibération du 5 avril 2010 est jugé prioritaire.

Tous les efforts seront faits pour que la constitution soit effective avant la fin de l’année.

 

2)      La formation en vue des élections, les actions d’observation lors des élections présidentielles et législatives.

Les formations spécifiques en vue des élections sont spécifiées dans le plan stratégique auquel on se réfère.

Le Bureau National retient que cette formation doit être aussi spécifiquement orientée  au fait de donner aux chrétiens engagés les connaissances et les connaissances pour vivre les élections d’une manière consciente et pouvoir en juger la transparence avec connaissance de cause.

Les observateurs nationaux qui ont été formés aussi par les biais de ONE (Observatoire National des élections) ne constituent pas le tout de l’engagement du Bureau National dans l’observation des élections.

  4. LA STRATEGIE

Il est important de savoir ordonner les moyens culturels et les moyens matériels.

Un plan d’action qui ne prend pas en compte ces moyens matériels est bien destiné à échouer.

Pour ce qui concerne le Plan d’action 2010 il sera alors question d’ordonner les moyens culturels à savoir le comité interdisciplinaire de la recherche sociale, toutes les formations envisagées (et celles qui ont déjà été proposées) et le moyen matériels (les outils de travail dont il été question dans la demande d’aide au CRS par rapport au reliquat du Conseil National et que le CRS a décidé de rapport à la nouvelle année financière) et l’achat d’une véhicule.

La disponibilité de Caritas Centrafrique de nous mettre à disposition un véhicule pour le travail de formation et de secrétariat doit être appréciée à sa juste valeur.

La proposition qui nous a été faite d’acheter ce véhicule au pris de 5.000.000 de F CFA a été évalué comme congruente par des techniciens. La recherche de cet argent peut profiter de ce mois d’octobre, mois que dans notre église est vécu comme mois missionnaire.

Des demandes d’aide aux « structures » d’église peuvent être faites. Déterminer cela dans ce plan d’action et dans le budget prévisionnel relatif signifie assumer cet engagement aussi par rapport à Caritas Centrafrique.

 

 5. CONCLUSION

La nécessité de rédiger un plan d’action pour l’année tandis que l’année a déjà donné au soleil la plupart des ses jours signifie aussi exprimer le désir que l’activité de projet et économique soient correctement gérées.

Par la délibération d’approbation de ce Plan d’action signifie donc l’approbation d’une modification du budget prévisionnel 2010 (Pièce-jointe n° 2) approuvé par la précédente administration et l’attribution au Trésorier Général des capacités de gestion en relation au nouveau budget approuvé.

 

                                                              COMMISSION EPISCOPALE

« JUSTICE ET PAIX »

DE CENTRAFRIQUE

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                                                 Bureau National

 

PLAN STRATEGIQUE DU BUREAU NATIONAL DE LA COMMISSION EPISCOPALE JUSTICE ET PAIX (CEPJ) POUR LA FORMATION AUX ELECTIONS 2011

(Pièce-jointe n° 1)

 

SOMMAIRE

 

I - Introduction

II - Contexte et justification de la planification stratégique

III - Méthodologie

AXE I : SENSIBILISATION PAR LES MEDIA.

AXE II : ATELIER DE FORMATION DES EDUCATEURS CIVIQUES ELECTORAUX

AXE III : FORMATION DES AGENTS SENSIBILISATEUR AU NIVEAU DES DIOCESES

IV - Conclusion

Annexe : Budget prévisionnel.

 

 

I - INTRODUCTION

 

Le Bureau National[1] de la Commission Episcopale « Justice et Paix » - Centrafrique[2], appelé par son devoir statutaire à pourvoir à la formation sociopolitique des chrétiens de Centrafrique, ordonne, par le biais du présent  « Plan stratégique pour la formation en vue des élections 2011 », les activités relatives à l’échéance électorale de janvier 2011.

 

II - CONTEXTE ET JUSTIFICATION DE LA PLANIFICATION STRATEGIQUE

 

Après 2005, les Centrafricains et les Centrafricaines s’apprêtent au courant de cette année 2010, à retourner aux urnes pour réélire le Président de la République et les députés de la Nation, c’est-à-dire les personnalités à qui ils acceptent de confier pendant cinq (5) années le destin de l’ensemble du pays.

Dans leur message de Janvier 2010 les Evêques de Centrafrique, en union de cœur et d’esprit avec l’ensemble du peuple de Dieu de même que tous hommes de bonne volonté, relativement à la tenue des prochaines élections générales avaient affirmé ce qui suit:

« Rebâtissons notre pays : (…) A l’approche des échéances électorales dans notre pays, nous ne pouvons ni ne voulons rester insensibles et indifférents à un évènement combien important. Il est de coutume que l’Eglise de notre pays intervienne à travers la Commission « Justice et Paix » pour rappeler aux uns et aux autres leurs devoirs et obligations dans l’organisation et la réalisation de ces élections, la formation des consciences n’étant pas de reste de la même manière, le Synode dans ses propositions finales invite notre Eglise à « sensibiliser les candidats au respect de la transparence des élections, au respect de l’adversaire politique, au respect de la Constitution, au respect du verdict des urnes et à l’acceptation de la défaite légitime ».

Déjà dans leur message de 1998, titré « N’ayez pas peur, soyons chrétiens dans notre vote », nos évêques nous disiez ceci : « Vous allez voter… N’oubliez pas que de mauvais choix entraînent des regrets durables, la frustration, voire des crises. Vous êtes libres et vous devez voter en hommes libres, sans préjugé, sans peur et sans contrainte ! ».

Ils ont réitéré ce message en exhortant à ce que ces prochaines échéances électorales soient un véritable chemin de maturité politique et démocratique. L’expérience a montré que quelques pays du continent africain qui ont tenté d’organiser et de vivre une élection démocratique authentique sont sortis des situations de guerre et de conflits armés pour reconstruire leur nation unie, réconciliée et grandie.

Fort de cet appel, les Evêques avaient exhorté les chrétiens à prendre conscience de leurs rôles combien déterminants dans le changement social, économique et politique de notre pays à cause de la foi.

Plus récemment, lors de la Session extraordinaire du 16 mars 2010, les Evêques de la Conférence Episcopale Centrafricaine[3] avaient encore demandé « aux pouvoirs publics d’organiser les élections présidentielles et législatives dans le plein respect du Code électoral de la République Centrafricaine ».

Ils ont, à cette même occasion, recommandé « aux mêmes pouvoirs et à tous ceux qui sont concernés que la sécurité soit établie sur tout le territoire national pour que tous les citoyens puissent participer à cette importante échéance électorale ».

Ils ont donné en dernier lieu « mandat au Bureau National de la Commission « Justice et Paix » :

-                     de suivre attentivement le processus électoral,

-                     de publier une brochure pour aider les chrétiens à connaître le nouveau Code électoral,

-                     d’aider les chrétiens, dans la tradition qui est propre à la CECA, dans le discernement relatif au processus électoral à la lumière de la Doctrine sociale de l’Eglise. »

Si les appels à propos des élections à venir se font pressants c’est que les enjeux sont importants.

Face à toutes ces observations sus rappelées, que la CEJP doit donc s’impliquer dans la vulgarisation  des textes fondamentaux qui organisent les élections, tout en mettant l’accent sur les attitudes dignes et responsables pour préserver la paix en Centrafrique.

C’est pour cela que la CEJP, dans le cadre de son accompagnement du processus électoral, a  retenu d’établir ce plan stratégique d’activités d’information, de formation au profit des neuf diocèses et en ayant une attention particulière aux paroisses de l’Archidiocèse de Bangui.

Plusieurs activité seront réalisés notamment la sensibilisation et la vulgarisation du « Guide de l’électeur » ; la formation des observateurs nationaux, l’observation des scrutins et ce pour que les élections, transparentes, libres et pacifiques afin d’éviter des crises, dérapage, de contestation et affrontement qui surviennent parfois avant, pendant et après la compétition électorale.

 

 

III – METHODOLOGIE

 

Le « Plan stratégique » est organisé en trois axes majeurs  qui présentant aussi une articulation temporaire de l’activité du BN de la CEJP.

Axe I : Publication du « Guide de l’électeur » ;

Axe II : Vulgarisation et sensibilisation par les medias et dans nos Diocèses ;

Axe III : Formation des formateurs des observateurs électoraux.

 

AXE I : PUBLICATION DU « GUIDE DE L’ELECTEUR »

La publication d’ouvrage comme supports d’information et de conscientisation à propos de l’appareil judiciaire, des divers droits et devoir citoyen est l’une des méthodes d’actions qui permet à la Commission Episcopale « Justice et Paix » d’atteindre ses objectives statutaires .C’est dans cet optique que les membres du BN ont pu valider lors de leur réunion extra ordinaire du 05 Avril 2010 la troisième édition du GUIDE DE L’ELECTEUR. Dés lors les demandes de subventions à l’intention de nos partenaires sont envisageables pour faciliter la multiplication et la publication dudit guide.

Le BN a aussi délibéré – dans sa séance du 02 septembre 2010 – que la brochure « Guide de l’électeur » , à laquelle sera attribué ne numéro ISBN 9782919544004, sera mise en vente au prix de 250 F CFA. Dans la même délibération le BN a déterminé que le prix de vente aux Bureaux Diocésains soit de 200 F CFA. Il est bon de rappeler que dans la séance du 5 avril 2010 le BN avait décidé que dans le projet de financement à envoyer à la BINUCA il fallait exposer le 10% du coût de l’imprimerie comme frais de conception.

 

AXE II : VULGARISATION ET SENSIBILISATION A TRAVERS LES MEDIA

Une fois la publication du « Guide de l’électeur » faite, la Commission Episcopale « Justice et Paix » conscient du mandat que lui a elle donné par nos évêques, elle compte organiser une grande campagne de sensibilisation dans nos paroisses respectives et à la radio (Plaidoyer, déclarations, conférences de presse etc.). Cela pourra se faire soit sur la Radio Notre Dame, étant donné que la Commission Episcopale « Justice et Paix » a déjà une espace fixe dans la programmation de la radio soit sur le réseau national des media catholiques soit sur les autres réseaux nationaux.

La détermination de produire des « approfondissements » de la durée de 15/20 minutes est prise pour permettre l’utilisation de ce matériel dans le réseau des radios diocésaines. Il est tout à fait évident qu’aussi d’autres radios présentes sur Bangui peuvent en profiter (Radio Ndeke Luka, etc.).

Plusieurs thèmes axés sur les questions ci-dessus énumérées feront l’objet de ce programme de mobilisation et  les personnes ressources issues de la société civile centrafricaine seront mobilisées pour cette cause.

1 - Les élections facteurs de cohésion sociale.

2 - Les droits et devoirs d’un citoyen en matière électorale.

3 - Le rôle et la responsabilité des institutions impliquées dans le processus électoral en République centrafricaine.

4 - Le cadre juridique des élections en Centrafrique.

5 - Que doit-on observer.

6 - L’administration d’une grille.

7 - Le message chrétien au regard du processus électoral de 2011.

8 - La paix et les élections.

 

I - Destinateur de la sensibilisation :

La sensibilisation sera faite dans l’archidiocèse de Bangui et dans les neufs diocèses qui compose la CECA d’une manière à informer la population centrafricaine en générale et en particulier la communauté ecclésiale.

 

II - Objectif général :

Les objectifs recherchés sont multiples à savoir:

1 - La vulgarisation du  « Guide de l’électeur » afin de promouvoir et d’informer de manière la plus large la population centrafricaine en général et en particulier les chrétiens  sur les différentes étapes du processus électoral en cours.

2 - Contribuer en tant qu’organe de l’église catholique et une des composantes du réseau des ONG de droit de l’homme de la RCA à l’organisation des élections libres, transparentes, et pacifiques en 2011.  

 

III - Objectifs spécifiques :

1- Rehausser le taux de participation électorale aux scrutins de 2010 ;

2- Approfondir l’ancrage des valeurs démocratiques en République centrafricaine;

3- Encourager la population à s’impliquer au processus électoral en cours.

 

IV - Résultats attendus :

Le processus électoral est connu et approprié par la population;

Les contestations et/ou contentieux sont portés devant la justice.

Chaque diocèse et paroisse se voit impliqué dans la surveillance du  processus électoral et  assume pleinement son rôle.

Résultat: Les électeurs sont informés, s’approprient les bonnes pratiques électorales notamment le vote à bulletin unique et participent massivement au scrutin.

 

 

AXE III : FORMATION DES FORMATEURS DES OBSERVATEURS ELECTORAUX

 

Traditionnellement, la surveillance des élections incombe aux parties politiques et aux  représentants, témoins ou mandataires des candidats ainsi qu’aux diverses commissions ou autorités ministérielles chargées de l’administration du territoire.

Cependant, depuis un quart de siècles c’est développé le phénomène de l’observation par des indépendants, mais essentiellement des pays développés vers les pays du Tiers monde en transition démocratique.

L’initiative domestique par les nationaux est née dans les années 1990 à la faveur du renouveau démocratique en cours dans les pays africains.

Les témoins des parties politiques ou des candidats ont une voie de recours dans les pays africains tandis que les observateurs indépendants n’ont que le droit de témoignage dont la valeur contribue à l’amélioration du système électorale.

 

OBSERVATION ELECTORALE

L’observation électorale est une activité de collecte d’information et de données dans le but d’émettre une appréciation objective sur le déroulement des opérations et la conduite d’un processus électoral.

L’observation électorale est menée par des personnes qui ne sont pas autorisées à intervenir directement dans la gestion des opérations. Elles opèrent donc en dehors du cadre institutionnel électoral mais sont assujetties aux principes et lois qui régissent le processus électoral.

Ces personnes sont appelées des Observateurs. Ils peuvent être des chrétiens nationaux ou des chrétiens étrangers.

Ils sont mandatés par leurs Evêques ou leur directeur diocésain pour assister à toutes les opérations électorales. Ils sont accrédités par la structure en charge de la gestion des opérations électorales.

C’est une activité de longue haleine dont la mise en œuvre exige beaucoup de qualité et de professionnalisme.

La CEJP détermine donc d’organiser une formation de quatre jours à l’intention des directeurs diocésains et des responsables des comités paroissiales justice et paix  provenant de l’Archidiocèse de Bangui. Le projet de cette formation prévoit la participation de trois membres pour chaque diocèse et de dix membres pour l’archidiocèse de Bangui outre, évidemment, les membres du Bureau National.

A l’issu de la formation ceux-ci deviendront des formateurs des formateurs à charge pour eux de recruter et de former leurs membres en provenance de chaque paroisse qui compose leur diocèse et par la suite deviennent des observateurs locaux et seront redéployer dans les sous préfectures qui compose leur diocèse (Selon le Code électoral, une sous préfecture constitue une circonscription électorale)  à charge pour eux d’observer  chaque étape du processus électoral et de rester en contact permanent avec le responsable du comité paroissial qui joué le rôle de superviseur de zone. Le superviseur de zone rend compte au superviseur de région qui autrement dit est le directeur diocésain à son tour répercute directement l’information au  Bureau  National de la CEJP

Ainsi une  couverture nationale de chaque processus électoral sera donc effective, afin de  permettre au Bureau National de suivre les incidents liés au processus électoral et ce dans le souci d’une élection libre, transparente et pacifique.

           

I - Destinataires de la formation :

Les bénéficiers de la formation seront les chrétiens. On visera d’une manière particulière ceux qui pourront être « Observateur » du processus électoral. La formation sera faite au niveau du Bureau National d’une manière à rassembler tous les directeurs diocésains et les responsables des comités locaux de nos diocèses.

La formation s’étale sur deux volets : le premier est constitué par un atelier de formation qui sera tenu à Bangui pour les responsables diocésains ; le deuxième relève de la compétence du niveau diocésain de la CEJP et sera fait dans les diocèses. Pour ce niveau est à prévoir une simple contribution pour la facilitation.

 

II - Objectif général :

1- Observation neutre et impartiale des scrutins de 2011 ;

2- Mettre à la disposition de la  population locale et de la communauté internationale un outil d’évaluation objective du déroulement du scrutin ;

3- Renforcer la confiance du public (population en générale et particulier les chrétiens) de la démocratie, du régime électoral  et des résultats de la consultation ;

4- Réduire les cas d’intimidation et de violence ;

5- Décourager et même dissuader la fraude électorale ;

6- Faciliter la détection  et le compte rendu du Code électoral ;

7- Contribuer à l’acceptation des résultats par l’ensemble des acteurs en compétition quand on peut conclure objectivement à l’absence de  fraude.

 

III - Objectif spécifique :

1 –  Former des formateurs diocésains pour une observation impartiale des élections ;

2 – Elargir les compétences acquises dans la formation nationale dans toutes les zones qui composent la Centrafrique.

 

IV - Résultat attendu :

Que la formation soit aussi à mesure de produire des outils de travail à utiliser dans les formations dans les différentes zones.

 

V - Activités subséquentes:

- 09 diocèses seront couverts par cette formation.

- atelier interne de conceptualisation des outils et thermes de référence sans oublier l’agenda de l’atelier (guide, capsules et modules).

- choix des communicateurs.

- formation des observateurs locaux

- déploiement des observateurs locaux.

- tenue  effective des séances des périodes d’observations.

 

VI - Mécanisme de gestion du projet de sensibilisation :

Il sera mis en place un bureau technique chargé de la préparation et de la gestion organisationnelle des activités

 

VII - Stratégie de mise en œuvre des activités :

La mise en œuvre de cette mission sera placée sous la houlette du Président de la CEJP



[1] Dans la suite: BN.

[2] Dans la suite: CEJP.

[3] Dans la suite: CECA.



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